Mon impression.

Mon impression.

    Chaque femme doit faire le choix entre sa famille et sa carrière. Dans le film « Le Diable s’habille en Prada » l’héroïne pricipale - Miranda Priestly – a déjà fait son choix à l'avantage de la dernière. Miranda est vraiment « workaholic » - elle travaille 24 heures par jour. Même quand son mari la quitte elle se permet quelques minutes de la plainte et se met à travailler de nouveau. Mais elle est «femme de fer» : elle parle froidement et dédaigneusement avec des subalternes, elle ne s’intéresse pas à leurs problèmes, elle s’intéresse seulement à leur travail. Moi, je crois qu’elle peut se conduire ainsi parce qu’elle a obtenu elle-même tout ce qu’elle a, et je suis sûre que pour posséder cela elle avait travaillé beaucoup. Si elle était douce son magazin ne serait pas si célèbre.

   Moi, je respecte cette femme, j’admire son caractère, sa capacité de se tenir aux limites, sa capacité de travail et je rêve d’ avoir ces qualités parce que assez souvent je manque de patience pour mener l'affaire à bon terme.

   Mais il est nécessaire de remarquer que pour son carièrre Miranda se recule de sa famille, elle passe peu de temps avec ses enfants. Mais je ne crois pas qu’elle soit malheureuse : oui, elle n’a pas de famille normale mais elle a le travail qu’elle adore. C’est son choix et son bonheur.

   L’autre héroïne c’est Andy – assistante personnelle de Miranda. Elle supporte le mèpris et l’irrévérence de Miranda, elle réalise toutes ses indications, elle fait tout ce qu’elle veut. Elle est très obstinée. D'abord Andy s'absorbe dans « la culture de la mode » et elle devient presque comme Miranda : insensible, indifférente, froide mais puis elle comprend que pour elle les choses les plus importantes ce sont sa famille et ses proches. Elle refuse de devenir une « femme de fer ». Moi, je comprends Andy mais je ne sais pas ce que je ferais à sa place. Si elle ne démissionnait pas elle ferait une bonne carrière et moi, je resterait avec Miranda probablement. A mon avis une femme doit être indépendante.

   Quant au film – il m’a plu beaucoup. On peut voir des trucs, des vêtements et des chaussures styles. Le film, lui- même est style: les paysages, les acteurs, les voitures, les phrases, les frusques... C’est super.

Irène.