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Bombes 2 bal

22 mars 2013

Il y a des moments de la joie meme dans ma vie

Il y a des moments de la joie meme dans ma vie fatigante, ou la tristesse noire envahisse mon cœur et les larmes chaudes tombent de mes yeux. Chaque soir, quand le froid d’hiver ou l’humidité de l’automne ou la chaleur d’été lute et tortu des gens dehors, j’aime, en revenant chez moi, trouver ma chatte, assise sur la dernière marche de l’escalier. 

Pour elle, le monde entier se conclure d’une petite maison, ou ne change presque rien. Des joures passent, mais c’est le devoir éternel pour elle – rester la, sur une marche et me regarder toujours avec le  mélange de la joie et de l’offense.

Puis, le soire elle va me raconter en détail ce qu’on l’opprimait toute la journée quand je n’etais pas la, que je suis une traitresse jusqu’au moment de la tenir dans mes bras. Et elle va s'endormir à côté de moi, tendre, douce, duveteuse. Ma chatte c’est ma petite joie embêtante, ma joie quotidienne.

 Je l’aime.

Olga

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21 mars 2013

Vois à l’intérieur . Une Remarque pas

Vois à l’intérieur . Une Remarque pas l’inférieur.

21 mars 2013

Ma petite joie.


...Une fois, moi et ma copine, nous allons marcher à la gare pour prendre l'autobus et partir au bois. Nous allos faire du camping. Nous avons ressemblé aux SDF: de vieux vestes, d'enormes pantalons, d'étranges bonnets et de grands sacs à dos. Ma copine plaisantait beaucoup et elle a dit:"Les gens doivent nous donner de monnais parce que nous sommes tant pitoyables!".

Nous avons obtenu La Place de la Liberté. Il nous restait gagner 500 mètres mais nous voulions manger quelque chose. Un petite baraque se trouvait non loin de nous. J'ai proposé d'acheter des "plats fourrés à la viande"... Des gâteaux aux chats, à vraie dire.  Elle a accepté, et moi, j'étais très surpris car je pensais qu'elle refuserait tout de suite. Une vendeuse de Caucase nous a données ceux gâteaux. Et nous, nous marchions vers la gare et mangeions ces trucs. Des gens inconnus passaient en nous regardant avec étonnement. Et nous, deux SDF pitoyables, nous mâchiez nos présents et nous étions heureuses.

Je sentais la liberté gigantesque parce que j'étais dehors de la société, dehors des limites, j'étais en quelque part, comme en autre planète où moi et ma copine habitaient seulement. Je me sentais SDF mais je n'étais pas SDF. J'étais la fille qui faisait des choses inhabituelles pour "la haute société" (à laquelle TOUS les gens appartient), pour moi-même (habituellement je n'achète pas des gâteaux dans la rue). C'était exellent.

Irène.

21 mars 2013

Hiver

Qu’est-ce qu’on peut penser du mot “hiver”?

Hiver – une partie de l’année quand il fait froid, il neige et toute la vie commence à vivre de la manière calme et douce. Qu’est-ce quei est le meilleur à l’hiver? La neige. On peut sauter dans la neige: court, élan, sauté, vol, tombe et on plonge dans une masse froide et éternelle. Quelqu’un bien sûr tâche de vous faire tomber ,ce jeu peut durer depuis longtemps, sans fin.

Mais le pausage et la nature hivernal c’est le meilleur que vous puissiez observer. Elle dépend du temps du jour. Soleil, tout est brille. Nuit, vous pouvez ne pas diviner des places où vous vous promenez 100 fois dans la lumière de l’étoile terrestre. Cette transformation m’étonne le plus.

J’aime l’hiver et vous ?

Ivan

21 mars 2013

Slogans

Utiise chaque moment

Courage et débilité

Vois à l’intérieur

Sois bizarre

Ivan

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21 mars 2013

Mes slogans

Fais tes études, fais de bons actions, fais du tourisme.
Sois intélligent si des gens sont méchants.
Aime ton époque mais n'oublie pas ton enfance.
Te developpe chaque jour.
Les sentiments dans l'ordinateur.
Irène

21 mars 2013

slogans

Jurer de jamais ressambler a son père.

Profit, ego, plaisir.

Fait l'histoir avant la devenir

Olga

19 mars 2013

les slogans 2013

SORTEZ DE L'ORDI - NAIRE

18 mars 2013

Mon impression.

 

Quand j’ai regardé ce film j’étais un peu choquée mais maintenant, 2 jours après, je suis tranquille, passive et je crois que je pourrai décrire mes impressions.

Pour moi, le problème général ce que je ne me rappelle pas de prénoms des parsonnages. Je m’excuse.

Le personnage principal m’a plu beaucoup. Je m’étonne de son calme, de sa retenue. A mon avis le plus difficile dans la profession du professeur c’est de conserver sa maîtrise. Mais lui, Il sait parler aux enfants, Il sait appuyer sur de tels points de la raison juste pour les apaiser, leur faire honte en quelque sorte et les faire réfléchir. Le dernier je crois que c’est l'essentiel. Chaque professeur doit faire travailler le cerveau de ses élèves mais certains ne savent pas faire ça.

Il tâche de les aider, de les tirer d’une grande trou d’ignorance mais les écoliers sont  tellement sots que ne veulent rien faire. Chaque jour ils mènent une vie parasitique, ils tombent dans la dégradation. Ils ne sentent pas les limites des relations entre les profs et les amis. Ils ne sont pas élevés et disent des grossièretés. L’abondance de gros mots dans ce film m’a étonnée d'abord... mais sans ces mots il est impossible de reproduire toute l’atmosphère de cette école.

Ce film m’a impressionnée beaucoup. Il représente les problèmes principaux de l'école moderne : les enfants ne veulent pas étudier tandis que leurs parents en accusent des profs et ils ajoutent que les profs ne savent pas enseigner . Mais à vrai dire ce sont les parents qui sont indifférents à leurs «oiselet ». L’épisode avec la réunion des parents prouve ça: un seul père est venu à l’école.

Il y a beaucoup de citations intéressantes dans ce film. Pour moi ce sont les mots de la prof chinoise quand elle parle à une fille difficile. La fille est sûre qu’elle aura du succès dans la vie, qu’elle deviendra mannequin mais la prof  lui dit qu’elle ne pourra pas faire ça parce qu’elle n’a pas d’ambitions. Elle ajoute qu’elle est fatigué de voir comment tous ces enfants se détruisent. La fille ne la comprend pas et elle sort en frappant la porte. C'estv plus facile de s’enfuir des problèmes que de les résoudre.

Irène.

17 mars 2013

J’ai peur que dans cette critique il y ait trop

J’ai peur que dans cette critique il y ait trop d’émotions. Pardonnez moi.

Je ne sais pas ce qu’il faut dire  à propos de ce film. Je ne comprends pas pour quel but il a étè tourné. Pour choquer ? Pour montrer la dégradation, la dégénération ? Pour montrer que la profession de professeur est rude ? On ne le savait pas autrefois? Mais chaque profession est rude si on ne l’aime pas. Pour montrer que les professeurs sont impuissants ? Ou indifférents ? Ou malades, car tous  les profs sont montré comme les hommes qui ont besoin d’un  psychologue? Je ne comprends pas le but du réalisateur.

Je déteste les films et les livres, créés uniquement pour provoquer le rejet, le dégoût et l’horreur, pour montrer que la vie est désespérément mauvaise et dure et triste et monstrueuse et affreuse.Les auteurs de ces choses disent, que ce n’est que « la réalité objective sans décoration ». Mensonge. La vie ne peut pas être noire sans issue, aucune vie. Ce sont des adolescents qui la voient comme ça, parce qu’ils ne savent pas encore voir et comprendre, car ils sont polards de eux-même. Et ce film est comme ça, noir pour être noir et il me dégoûte.

Comme dans un cauchemar les images,les pièces,  les cadres se mêlent. Les gens n’ont pas de noms, n’ont pas d’histoires – ni future, ni passé – les profs ne font rien pour changer quelque chose, mais disent qu’ils ont passé devant le tableau plusieurs années. On passe le temps.Le temps qui manque toujours aux professeurs (comme ils devraient être), comme aux docteurs, car comme les docteurs ils peuvent tuer ou ils peuvent sauver. Et ces profs passent le temps. Et voila, dans le film – les profs détestent les élèves et leurs parents, les parents détestent les profs et les enfants qui trompent  leurs attentes et les enfants détestent les profs, les parents et eux- même. Et c’est la réalité ? Je ne le crois pas.

Mais si on prend cela pour réel, si on tâche de ne pas penser au réalisateur, qui faisait tous les gros plans, le cahotement de la caméra organisé soigneusement pour blesser les âmes, tous ce que je hais, on voit le héros principal. Oh, j’ai beaucoup de mots pour  lui: faible, indifférent, impuissant , malade, effaré, effrayé de la vie, mort. Parmis tous ces enfants proférant des gros mots et les profs désenchantés, c’est lui qui est le pire, le docteur qui ne peut pas sauver, qui ne veut pas sauver, qui demeure à l'écart et qui s’enfuit. Un homme qui dit les choses tellement  vraies et tellement inutiles, car les mots ne sont pas  suffisants. Un homme qui avait la possibilité de sauver deux vies au minimum et qui a pu sauvé une seule, qu’ il a failli perdre. Un homme sans visage, qui s’enfuit. Un médicastre.

Je suis une idéaliste, je suis une maximaliste, pour moi ce film n'est pas mauvais - les acteurs, le scénario, certaines histoirs sont extremement bons, mais pour moi c'est un exemple de "comment il ne faut pas faire, si tu est prof".

Et ce n'est pas normal de rien faire apres les mots d'un garçon avec les yeux vides qui vient de tuer cruellement  le chat "Je me sens comme une bête traquée, comme ce chat". Zut! Zut! Zut! Pourquoi on n'a RIEN fait?

Olga

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